Au cours de l’année scolaire 2015-2016, j’ai eu la chance de travailler comme assiste éditrice-photo ainsi que comme éditrice-photo avec un des journaux étudiant de l’université Concordia, The Concordian.
Voici quelques exemple de mon travail diffusé.
Dans le cadre de ma formation en Journalisme Visuel et de mon travail comme éditrice-photo au journal étudiant The Concordian , j’ai la chance de rencontrer des gens qui font des choses extraordinaires.
De par leurs gestes, leurs talents ou leur persévérance, toutes ces personnes font en quelque chose, une part pour un monde meilleur.
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*Dans le domaine de la photographie, un « Environnemental portrait » c’est un portrait exécuté dans l’environnement habituel du sujet, comme dans sa maison ou au travail. Ce type de photo met en lumière la vie et l’environnement du sujet.
Série de photographies sportives réalisées dans le cadre du cours du programme de Visual Journalism de l’Université Concordia.
Un grand merci au Club aquatique Rosemont-Petite-Patrie, spécialement à Dominic Bélanger, entraîneur, et à tous les jeunes athlètes qui ont bien voulu se prêter au jeu.
Série de portraits, réalisée comme projet de fin de session, dans le cadre du cours Lighting for Visual Journalism, de l’Université Concordia.
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As one of the most bike-friendly cities in North America, Montreal is a place where cycling is quite safe and each year more popular. Among the large community of cyclists in the city, there are the people who ride a road bike, BMX, mountain bike, Bixie, old and rusty frames on two wheels, single speed and fixed gear, to name only those.
But, as a proud fixed-gear cyclist myself, I decided to portrait on the cyclists embracing this underground fixed bike culture who are passionate about the adrenaline that this type of bicycle provides.
(A fixed gear bicycle is a bike that has the drive sprocket threaded or bolted directly to the hub of the back wheel, so that the rider cannot stop pedaling. When the rear wheel turns, the pedals turn in the same direction.)
Unfortunately, for some people and in the eyes of the law, pedaling a bike without a rear brake is illegal and dangerous. That is why I decided to give a superhero twist to my pictures. With high contrast, strong poses and the use of artificial light, I tried to make those riders, proud but also in total control of the situation.
Francis Lemieux, mieux connu sous l’alias Frank l’Assassin, est un lutteur de la ligue ICW. Chaque samedi, il s’entraîne et offre un spectacle à l’église Très-Saint-Rédempteur dans Hochelaga-Maisonneuve.
La lutte est un sport qui requiert de nombreuses heures de pratique mais également énormément de discipline, d’entraide et de communication entre les partenaires. Bien que les personnage semblent se détester dans l’arène, au-delà des costumes, les athlètes de la ligue ICW sont là que pour une raison: offrir un performance spectaculaire aux amateurs.
Cette semaine, j’ai eu la chance de faire mon premier stage comme photojournaliste dans un hebdomadaire régional. En partenariat avec l’Université Concordia, c’est au journal The Eastern Door de Kahnawake que j’ai été reçue.
Mais je ne serai pas la seule à y passer! Cet été, le journal va accueillir environ cinq étudiants du programme de Journalisme Visuel de Concordia ainsi que plusieurs jeunes Mohawk du secondaire et du Cégep qui sont interessés par le journalisme écrit.
Grâce à cette brève mais intéressante expérience, j’ai pu comprendre un peu mieux les réalités du travail de photojournaliste, bien qu’en temps normal, les journaux régionaux n’embauchent pas de photographe. C’est plutôt aux braves et travaillants journalistes de prendre toutes les photos!
Dans l’ensemble, mon expérience fut assez enrichissante. J’ai eu la chance de me déplacer sur le territoire Mohawk ainsi qu’à Montréal, où j’ai couvert pour The Eastern Door, le volet des Arts visuels du festival Présence Autochtone.
Au début de la semaine, Steve, l’éditeur en chef, m’avait bien spécifié que ce genre de travail n’était pas fait pour tous… Il faut une grande capacité à gérer le stress, la pression et les deadlines! J’ai aussi réalisé qu’il faut être à l’aise à travailler seule et qu’il faut savoir rapidement entrer en contact avec les autres, et ce de façon très respectueuse et non intrusive.
Le seul point négatif, les temps morts! J’aime tellement être dans l’action que quand il n’y a plus rien à faire, je m’ennuie. Jeudi, tout le monde au bureau était dans le rush sauf moi! La journée où le journal doit partir à l’impression c’est un peu la folie: révision, correction, confirmation de citations, etc. Et vendredi, il faut commencer à préparer la semaine qui suit, mais je n’y serai pas alors… J’ai pu écrire ce texte sur mes ¨heures de travail¨!
En conclusion, ce stage m’a confirmé ce que je savais: j’adore ce métier et je souhaite pouvoir en vivre. Que ce soit pour une grande agence de presse mondiale ou pour le Journal de Montréal, si on me propose un job de photojournaliste, j’accepte SUR-LE-CHAMP!
*Voici donc quelques unes de mes moins pire photos prises durant la semaine! Qu’en pensez-vous?
C’est mon amie Valérie qui m’a parlé la première fois du Wheel Club, lors d’une discussion sur notre passion commune pour la musique Bluegrass et Country. Le Wheel Club, c’est une institution, c’est un must pour tous les amateurs de ces styles musicaux. Dans un décor et un environnement inspiré d’une réunion de Chevaliers de Colón, j’y suis allée une première fois pour en ressortir complètement sous le charme! En plus des gens terriblement accueillants et ouverts aux nouveaux venus, j’ai pu y écouter de la sapristi de bonne musique!
Bien qu’une grande partie de la soirée soit sous un concept « open mic », ne frôle pas les planches du Wheel Club qui veut… Que vous soyez musicien ou chanteur, il y a deux règles à respecter:
1) Seuls les instruments acoustiques sont permis, à l’exception du steel guitare
2) Vous devez chanter des vieilles chansons, soit des tounes écrites avant 1965 de style Country, Cowboy, Hillbilly, Western et Bluegrass uniquement.
Avec ces critères, croyez-moi ceux qui osent s’aventurer sur la scène sont de vrais pros ou simplement de grands passionnés de vieux country!
Bref, le wheel Club est situé aux 3373 Cavendish dans NDG à Montréal et se déroule chaque lundi soir dès 21 h. L’entrée est gratuite et on y sert des encas de chips, crottes de fromages et réglisse, mais aussi de la bonne Sleeman pour vraiment pas cher!
Au plaisir de vous y croiser, et croyez-moi ça fait changement de tous ces bars très tendance du plateau.
Cet hiver, alors que la neige s’accumule devant nos fenêtres, j’ai eu la chance de faire mon premier contrat de publicité pour le restaurant Ta Chido Snack-Bar Mexicain. Commandé par la revue Città, j’avais comme mission de faire un portrait ludique et original de la famille de Mariano, propriétaire de ce coloré et minuscule snack-bar.
Si vous passez par la rue du Parc à Montréal, ça vaut vraiment le détour!